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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 00:09

Le 4 février 2009, l’Union des couveuses d’entreprises, qui rassemble depuis 2002 des organismes d’appui aux porteurs de projets, et le Centre national de l’entrepreneuriat, un institut spécialisé du Conservatoire national des Arts et métiers (Cnam) ont signé un accord cadre pour « la reconnaissance des compétences entrepreneuriales des porteurs de projet accueillis au sein des couveuses » lors du Salon des entrepreneurs, organisé à la Porte Maillot à Paris.

Les couveuses permettent le test en grandeur réelle de l’activité dans un processus d’apprentissage du métier de chef d’entreprise. La couveuse veille à sécuriser le parcours de l’entrepreneur, à le former dans l’action, et à créer les conditions nécessaires à sa mise en réseau professionnel. Elles s’appuient sur le contrat d’appui au projet d’entreprise, un dispositif issu de la loi sur l’initiative économique de Renaud Dutreil (août 2003).

Le Centre national de l’entrepreneuriat, du Cnam propose plusieurs formations dédiées à l’initiative d’entrepreneurs désirant développer une structure existante, créer ou reprendre une entreprise. Il propose notamment un Certificat professionnel entrepreneur et une licence professionnelle Direction d’entreprises artisanales et de petites entreprises, deux titres ayant une reconnaissance officielle.

Pour l’Union des couveuses et le Centre national de l’entrepreneuriat, il s’agit de permettre la préparation du Certificat professionnel entrepreneur par les entrepreneurs intégrés dans les couveuses et de préparer le déploiement d’une offre de service offrant une sécurisation des parcours des auto-entrepreneurs.

Le Certificat professionnel Entrepreneur de petites entreprises sanctionne un cycle de formation de 308 heures et est validé par ce titre de niveau III (bac +2), permettant de capitaliser 30 ECTS (l’unité de compte des titres universitaires en Europe) ; il est en cours d’inscription au Registre national des compétences professionnelles (RNCP).

Dans un premier temps, trois couveuses ont fait connaître leur intérêt pour mettre en œuvre cette nouvelle offre en 2009 et 2010. Il s’agit de ADIJE, une des toutes premières couveuses, basée à Marseille, de Créa  Vaucluse, à Avignon et de Mature Blois. Ces deux dernières couveuses, contrairement à ADIJE, sont liées à des Boutiques de gestion, Activ Conseil (Avignon) et ISMER (Blois).

l’Union des couveuses est présidée par Jean-Pierre Martin et dirigée par Catherine Torterat. Le Centre national de l’entrepreneuriat, est dirigé par Jean-Claude Bouly, professeur au Cnam et directeur régional du Cnam en Lorraine.

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 00:06

Je termine dans ce quatrième papier mon examen des débats de la commission élargie de l’Assemblée nationale qui, le 5 novembre 2008, a examiné les crédits consacrés à la mission « Travail et emploi » dans le projet de loi de finances pour 2009. Elle réunissait les membres de la commission des finances, de l'économie générale et du Plan et ceux de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales. Les commissaires ont entendu Xavier Bertrand, ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité ainsi que Laurent Wauquiez, secrétaire d'État chargé de l’emploi.

Élu (Ps) d’Indre et Loire, Jean-Patrick Gille, député de Tours a comparé les écoles de la deuxième chance avec l’Établissement public d’insertion de la défense, s’étonnant que ce dernier « dispose de 100 millions d’euros pour 1 500 jeunes. »

Laurent Wauquiez a indiqué avoir signé un partenariat avec la présidente de la fondation, Édith Cresson, ancienne première ministre, « afin qu’elles fassent partie de la négociation sur la formation professionnelle. »

Un grand nombre de députés se sont inquiétés de la situation de l’Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa).

Ainsi, Maxime Gremetz (apparenté communiste, Somme) a estimé que « tous les gouvernements de droite ont essayé de liquider » l’Afpa et que les 850 psychologues de sont  « particulièrement visés ». Jean-Patrick Gille, exprimant des inquiétudes concernant l’avenir de l’institution, ajoute que « personne n’a compris pourquoi vous retiriez à l’association son habilitation générale sur la certification. »

Le secrétaire d’État à l’emploi a assuré que l’Afpa est dotée, pour 2009, de « 199 millions d’euros de crédits, dont 169 millions en fonctionnement, soit exactement le même niveau qu’en 2008 à périmètre comparable ». Selon lui, « nous avons besoin d’une Afpa nationale ; il est hors de question de la démanteler au profit de petites structures régionales. »

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 00:09

Au cours de la session du Grenelle de l’insertion organisée le 19 mai 2008 à Cergy (Val d’Oise), à l’école de commerce Essec, sur le thème innover pour insérer - la formation professionnelle pour l'emploi, une expérience conduite par une École de la deuxième chance (E2C) a été présentée.

Les 16 E2C existant en France exploitent 36 sites situés dans 14 régions et 24 départements. 3 712 stagiaires ont été accueillis 2007 et 4 500 sont prévus en 2008. 93% du public est d’un niveau VI en terme de formation validée. Les stagiaires suivent des parcours longs de 800 à 1400h.

E2C Champagne-Ardenne est à la tête de 7 écoles hébergées dans des organismes de formation (Afpa, Cci, etc.). Comme toutes les E2C, elle s’adresse principalement à un public de jeunes (20 à 25 ans). Cependant, à la demande du conseil général de la Marne, une expérience baptise « Seconde chance adultes » a été lancée en 2003. Elle s’adressait à un public d’allocataires du Rmi désireux de reprendre un emploi et ayant besoin d’une formation.

En 2007, elle a été étendue au département de la Haute-Marne et le sera à la rentrée 2008 à l’Aube.

149 Rmistes ont été accueillis dans ce cadre en 2007 par les E2C de Châlons-en-Champagne, Saint Dizier et Chaumont. 71% étaient de niveau VI. Des équipes dédiées à ce public ont été constituées.

Le taux de sorties positives a été comparable à celui constaté pour les jeunes. L’expérience devrait donc être poursuivie.

Elle a cependant montré un certains nombres de points d’attention. La mixité entre jeunes et adultes, tentée au début, n’est pas possible ; une femme a ainsi refusé de se retrouver dans le même cours que son fils. Le travail en réseau avec les acteurs sociaux est difficile ; les responsables des E2C se plaignent de ne pas avoir de retour, quand ils adressent une personne rencontrant une difficulté. Enfin, la prescription de l’entrée en E2C est jugée compliquée, ce qui limite l’entrée des publics – et augmente le coût par stagiaire de l’école.

Au total, E2C Champagne-Ardenne a accueilli 500 personnes en 2007 et prévoit d’avoir 629 stagiaires en 2008.

 

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:16
La société Forces, qui organise la caravane des entrepreneurs, vient de lancer une Web TV de formation à la demande en accès libre et gratuit pour les entrepreneurs et les managers : www.tvdesentrepreneurs.com.
Plus de 100 formations sont disponibles pour les créateurs, les repreneurs, les franchisés, les entrepreneurs installés. L’objectif est d’arriver à 700 en 2009, pour créer l’université en ligne du chef d’entreprise.
Les internautes peuvent se former quand ils veulent, comme ils le souhaitent, sans se déplacer et gratuitement.
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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 00:07
Les Maisons communes emploi-formation (Mcef), qui sont les Maisons de l’emploi de Midi-Pyrénées renseignent sur la formation professionnelle, et notamment sur le DIF (droit individuel à la formation).
Le CarifOref Midi-Pyrénées met à disposition en téléchargement sur son site Internet un  « Guide de la formation des salariés », ainsi que des fiches techniques « Entreprises et formation professionnelle des salariés », dont notamment une fiche synthétique sur le DIF. Fin 2007, l’étude prospective et territorialisée sur le DIF en Midi-Pyrénées devrait également être diffusée.
Cette information est particulièrement utile, car le caractère particulier du droit individuel à la formation, qui peut être mis en œuvre dans les entreprises depuis 2005, est qu’il s’agit d’une action au choix du salarié mais que celui-ci ne peut pas obliger l’employeur à accepter son départ en DIF.
Le CarifOref Midi-Pyrénées, dans sa note, remarque qu’il y a une « nécessaire réflexion de l’entreprise sur sa politique de prise en charge du DIF : quelles actions de formation et quelles conditions de réalisation privilégier (durant ou hors temps de travail, en articulation avec d’autres dispositifs comme le plan de formation ou la période de professionnalisation…) ? ». L’organisme d’information, qui appuie l’activité et le déploiement des Mcef, conseille que « l’employeur peut éventuellement communiquer à ses salariés cette politique. »
Le DIF permet des acquisitions de compétences, des renforcements de capacités, mais également la préparation de projets comme le développement, la reprise ou la création d’une entreprise.
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29 novembre 2007 4 29 /11 /novembre /2007 00:05
En visite à Saint-Maur-des-Fossés, à la Chambre de métiers et de l'artisanat du Val-de-Marne en septembre 2007, Alain Griset, président de l'Assemblée permanente des chambres de métiers, a indiqué que son réseau entendait créer, dans chaque région de France, une Université des Métiers.
La chambre consulaire du département de l’Est de l’Île de France se veut pilote en matière de formation. Elle a démarré un enseignement « Management d'entreprise artisanale », s’appuyant sur des contenus développés par le Centre national de l’entrepreneuriat du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam).
L’objectif est de prévenir les fermetures prématurées de jeunes sociétés, souvent à cause de l’absence de culture managériale des artisans, en particulier en matière de gestion des personnels. Ces universités permettront de former les futurs artisans à la gestion et aux ressources humaines. Un des enjeux sera d’inclure l'artisanat dans le champ universitaire classique.
La première rentrée à Saint Maur se situe à un niveau modeste, et la formation a accueilli 12 élèves, jeunes et adultes, dans le centre de formation des apprentis de la CMA-94.
Dans le Nord-Pas-de-Calais, la Chambre régionale des métiers ouvrira fin 2010 son « université des métiers et de l’artisanat ». Elle sera un lieu d’accueil, d’information et d’orientation des futurs apprentis et de formation continue des artisans et maîtres d’apprentissage. La Chambre régionale mène aussi une réflexion avec l’IUFM pour créer un module spécifique à l’artisanat pour les professeurs, voire les futurs professionnels de l’orientation de l’Anpe, de l’Afpa et de l’éducation nationale.
CMA-94-copie-1.jpg
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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 00:00
Nous avons déjà évoqué ici le programme « Emploi et territoires » du conseil régional d’Île de France, adopté, le 27 septembre 2007. Le rapport de Daniel Brunel, vice-président (communiste) du conseil régional, a pour objet de « favoriser l'emploi, l'inclusion sociale et le développement économique, notamment dans les quartiers en difficulté. »
Un des aspects significatif des orientations tracées est la revendication par la région de son rôle dans la formation des professionnels. Réunie dans une partie intitulée « Professionnaliser les acteurs du développement économique des quartiers en difficulté et de l’emploi », les propositions formulées partent de l’analyse selon laquelle « le développement, dans un univers professionnel récent, évolutif et très fragmenté, de l’implication régionale, accroît le besoin de formations communes et d’échanges professionnels entre les acteurs concernés. »
Trois grandes catégories d’actions sont envisagées. La première concerne le domaine de l’emploi. Pour les élus, « les intervenants agissant en faveur de l’emploi auprès des Franciliens et des entreprises ont besoin non seulement de connaissances et de compétences particulières mais aussi de pouvoir échanger sur leurs pratiques professionnelles et de travailler en réseau. »
La Région veut donc proposer des formations spécifiques et initier des rencontres entre partenaires et acteurs de l’emploi. Elle cite « les intervenants des maisons de l’emploi et de la formation, des PLIE, des plateformes de services ressources humaines, et des associations du secteur de l’accompagnement vers l’emploi bénéficiant de financement au titre du programme Emplois-tremplin. »
Dans le domaine du développement économique des quartiers, la région considère que « la dimension économique, et notamment en tant qu’elle privilégie la valorisation des potentiels humains et matériels, n’a été que très récemment prise en compte dans la panoplie des outils d’appui au développement des quartiers en difficulté. »
Pour accompagner des programmes structurants (à l’échelle territoriale, baptisés PACTES) et des dispositifs nouveaux, elle entend « mettre en place un outil d’appui à la professionnalisation des acteurs qui interviennent, à partir d’organisations très diverses, dans ces quartiers. » Sont prévues des conférences, rencontres et journées de formation.
Mais au delà de ces deux catégories (professionnels de l’emploi, intervenants dans les quartiers), c’est une réflexion globale qui est envisagée. « La prise en compte, par la Région, de ce thème de la formation des professionnels de l’emploi et du développement économique, comme moyen de renforcer la cohérence et la qualité de la mise en œuvre de ses politiques suggère, à moyen terme, une réflexion sur une mise en cohérence, voire une homogénéisation de l’offre régionale en direction de ces professionnels, dans la perspective de rendre plus lisible l’ensemble des formations octroyées à ces professionnels. » Des partenariats sont envisagés avec la DRTEFP, les OPCA ainsi que la direction régionale de l’Anpe.
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24 avril 2007 2 24 /04 /avril /2007 00:00

Le dispositif Ardan (Action régionale pour le développement d'activités nouvelles) a été initié en 1988 par le conseil régional de Lorraine. Il a depuis été repris dans dix autres régions, parfois sous le nom « Activités nouvelles & nouvelles compétences ». Il vise à aider des entreprises de petite taille à se développer en faisant appel pendant six mois demandeur d'emploi qui devient ainsi « pilote de projet ». Le Cnam, qui porte aujourd’hui Ardan, lui apporte un soutien méthodologique et un accompagnement.

De sa création à la fin 2006, 5 091 projets de développement économique ont été expertisés, dont 3 653 ont été accompagnés, et près de 2 700 emplois créés. Les entreprises bénéficiaires comptent en grande majorité moins de dix salariés.

Ardan était également le nom d’une association autonome qui a porté le dispositif. En décembre 2005, l’association Ardan Lorraine et le réseau France Ardan ont décidé de fusionner avec le Centre national de l’entrepreneuriat, une entité du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam). C’est l’association régionale du Cnam en Lorraine qui porte Ardan et le Centre national de l’entrepreneuriat.

C'est l’aboutissement d'un processus à travers lequel l'action d’Ardan s’est développée au niveau national. En 1996 avec un premier essaimage d'Ardan a lieu dans 4 régions. En 2000, Ardan et le Cnam créent en Lorraine un centre spécialisé du conservatoire dédié à l'entrepreneuriat. En 2001, un nouveau déploiement national est mis en œuvre à travers le réseau du Cnam, permettant à Ardan d’être aujourd'hui présent dans 11 régions. 

En 2006, le Centre national de l’entrepreneuriat a lancé un nouveau titre universitaire, le Certificat professionnel entrepreneur. Les missions menées dans le cadre d’Ardan peuvent conduire à l’obtention de ce titre. Le Centre national de l’entrepreneuriat est dirigé par Jean-Claude Bouly , professeur au Cnam.

  Jean-Claude Bouly , professeur au Cnam

 

 

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10 janvier 2007 3 10 /01 /janvier /2007 00:00

Depuis 2002, Cime propose des formations qui visent la professionnalisation des acteurs de l’aide à l’émergence d’entrepreneurs et à la création d’activités et d'entreprises. Dans ce cadre, Cime a contribué à la formation des chargés d'accueil du réseau Balise et des agents d'amorçage de projets dans les quartiers (SAP). 

Afin de répondre aux besoins, Cime ouvre en 2007 son offre de formation à tous ceux qui reçoivent des publics s’interrogeant sur leur insertion dans l'emploi et sur la dimension professionnelle de leur projet de vie. 

Émergence. Il s'agit de favoriser l'émergence d'entrepreneurs qui ignorent encore leur capacité à le devenir ainsi que l'émergence d'idées de création d'entreprise.

A ce titre, Cime, dans son offre de formation, favorise les actions qui permettent d'aller à la rencontre de ces futurs entrepreneurs. La démarche consiste à mobiliser sur l’envie, considérée comme un moteur de l’action personnelle : envie de créer, de se réaliser, de s'accomplir, de se dépasser, de se rassembler autour de la création de son entreprise ou de son association. L'offre de formation de Cime donne également des outils méthodologiques pour aider à passer de l'idée au projet.

Par ailleurs, un grand nombre de formations sont centrées sur la coopération territoriale ou le travail en réseau. En effet, depuis toujours, les formations de Cime s’appuient sur des valeurs, qui associent économie, solidarité et développement durable des territoires.

En 2007 l'offre de formation est développée sur quatre axes :

Ø      Les formations orientées vers l'accueil  de publics pouvant devenir entrepreneurs (publics salariés, jeunes, habitants des quartiers, milieu rural) ;

Ø      Les formations dédiées à l'accueil de publics victimes de discriminations (migrants, handicapés, sortants de prison).

Ø      Les formations liées à l'aide à l'émergence d'idées (récits de vie, créativité, écoute active, accompagnement vers l'autonomie du porteur, préparation au changement, animation d'un atelier, montage du projet) ;

Ø      Les formations liées à l'activité en réseau des professionnels ( coopération territoriale , animation d'un réseau, orientation vers les partenaires).

Les formations de Cime donnent à ceux qui les suivent des moyens pour devenir des éveilleurs de vocations, des facilitateurs de parcours vers la réalisation d’un projet de vie en tant que créateur d’activité et entrepreneur.

Pour en savoir plus : Pascale Dutilleul , responsable de la formation, Cime

Tél : 01.55.31.90.75 Courriel : pascale.dutilleul@cime.asso.fr

Téléchargez l’offre de formation en cliquant ici.

 Pascale Dutilleul, responsable de la formation, Cime

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22 octobre 2006 7 22 /10 /octobre /2006 00:00

Pour aider à la création d’activités et au développement de l’emploi, il est nécessaire de s’appuyer sur des acteurs territoriaux et de les faire coopérer

Les 7 et 8 décembre 2006, Cime propose une formation intitulée « Animer un réseau de professionnels » qui permettra d’acquérir les bases théoriques et pratiques.

Qu’est-ce qu’un réseau ? Quelle est la place de l’animateur ? Quelles sont les qualités et les pratiques requises d’un animateur de réseau ? Quelles sont les conditions de réussite d’un réseau de capitalisation et de partage des savoirs et d’un réseau de soutien à des professionnels ? 

Bruno Adjignon, sociologue, consultant à Éthique-Action, ancien responsable de Culture et Liberté et du Collège coopératif de Paris, assurera cette formation dans une démarche délibérément interactive.

Retrouvez ici le programme complet de formation de Cime.

Contact : Valérie Petit et Pascale Dutilleul , Cime, 2 square Trudaine 75009 Paris

Tél : 01.55.31.90.75 – Fax : 01.49.70.02.55

 

 

 

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PrÉSentation

  • : Emploi et création
  • : maison de l'emploi maisons de l'emploi maisons de l'emploi et de la formation émergence d'entrepreneurs création d'activités développement local lutte contre l'exclusion emploi microcrédit microfinance création d'entreprises cohésion sociale accompagnement
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Qui rédige ?

Ce site est conçu et animé par Benoit Willot.

Contact : benoitwillot@emploietcreation.info

Le site Emploi et création a été lancé en janvier 2005. 


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Le blog Emploi et création est compatible avec tous les téléphones du marché. Vous pouvez le consulter à l'adresse suivante :

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Documents à télécharger :


Le Cahier des charges 2009 des maisons de l’emploi (décembre 2009)

Les Modalités de financement des maisons de l’emploi (décret de décembre 2009)

Rapport du groupe de travail sur l’élaboration d’un nouveau cahier des charges pour le conventionnement des maisons de l’emploi  (Michel Thierry, IGAS, septembre 2009)


L’étude de la DARES : Les maisons de l'emploi conventionnées avant fin juillet 2007 (mars 2009)
Le rapport final de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (juin 2008)

Le rapport intermédiaire de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (janvier 2008) avec sa première annexe et sa deuxième annexe.
Le
rapport de Marie-Christine Dalloz, députée du Jura, sur les maisons de l'emploi (juin 2008)
La loi du 13 février 2008 sur la
réforme du service public de l'emploi

La carte des maisons de l'emploi en métropole en décembre 2008 (source : DGEFP, Dares)

L'annuaire des maisons de l'emploi (réalisé par le ministère de l'emploi, mars 2007) 

La liste des maisons de l’emploi labellisées et conventionnées (juin 2008, source DGEFP)

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