24 octobre 2008
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La Maison de l'emploi de Bordeaux a lancé en juin 2008 une plateforme de l'initiative pour accompagner les créateurs d'entreprises à Bordeaux (Gironde). Le dispositif vise exclusivement les habitants des quartiers prioritaires de la capitale de l’Aquitaine qui ont un projet viable de création d'entreprise Il s’appuie sur un Service d'amorçage de projet, co-financé par la Caisse des dépôts et consignations.
Les personnes ayant envie d’entreprendre sont détectées par le Service d'amorçage de projets et un large tissu de partenaires de terrain (associations de quartier, DSU ville de Bordeaux...). La Maison de l'emploi est leur point d'entrée unique, qui donne un premier avis sur les projets et valide leur participation au dispositif de la Plateforme de l'initiative.
La Maison de l'emploi organise les rencontres avec les acteurs de la Plateforme notamment au cours de « petits déjeuners de la création » organisés tous les 2 mois. En 15 minutes, chaque entrepreneur présente son idée à l’une des trois tables organisées en fonction de ses besoins identifiés : accompagnement sur la conception ; business plan : co-financement et locaux d'activités
Des ateliers thématiques seront également organisés. La plateforme de Bordeaux s’appuie sur l’utilisation de Balise, un développé par l’association Eveilleco, affiliée au Réseau des Boutiques de gestion.
La plateforme sont nombreux rassemble les acteurs de l’appui à la création d’entreprises, y compris la Caisse sociale de développement local (montée à Bordeaux à l’initiative de la Caisse d’épargne et du Crédit municipal) ou la Maison de l'initiative et de l'emploi en plus des réseaux nationaux et de plusieurs établissements bancaires, fondations ou entreprises.
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25 juillet 2008
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La députée socialiste de Bordeaux, Michèle Delaunay, également conseillère générale de Gironde (Aquitaine), intervenait dans le cadre d’un tchat sur le site Internet du quotidien gratuit 20 minutes le 9 juillet 2008.
Un intervenant, « bordeaux33 » lui demandait : « que pensez de la maison de l'emploi de Bordeaux qui coûte des millions d'euro à la collectivités et qui – particularisme bordelais oblige – est une des 2 seules maisons de l'emploi de France sur 217 qui n'est pas ouverte au public ? Cet argent ne pourrait il pas être mieux employé sans la complaisance de l’État actuel qui a signé les yeux fermés une structure unique et inique, étonnant non ? »
Michèle Delaunay, qui fut la tombeuse, lors des élections législatives de 2007, du maire Ump de Bordeaux, Alain Juppé, a répondu ainsi : « La maison de l'emploi n'a pas été inutile ! Elle a créé UN emploi, celui de son directeur. Et un salaire : 7000 euros mensuels. On revient en arrière sur ce dispositif sur le plan national, mais Bordeaux reste fixée à cette structure peu efficace, et qui n'apportera certainement pas d'embellie à la panne économique de notre ville. »
Nous reviendrons dans quelques semaines sur la maison de l'emploi de Bordeaux qui, quoi qu'en dise la députée socialiste, a des projets concrets.
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31 mars 2008
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Le blog Terrasson et Vous donne la parole – en février 2008 - à Pierre Delmon, alors maire de Terrasson-Lavilledieu et président de l’Espace économie emploi qui constitue l’une des deux entités de la maison de l’emploi du Périgord noir. Selon Pierre Delmon, « Le concept a pu prendre toute sa dimension dans la durée. Mais il a fallu créer les conditions nécessaires à nos entreprises pour se structurer, se développer, se créer. Et exploiter tout le potentiel apporté par l’autoroute, l’aéroport, les pépinières et les zones d’activités... » Jean Lalay, co-directeur de la maison de l’emploi, souligne dans le rapport d’activité, l’évolution historique des réalisations depuis la fondation de l’Espace économie emploi en 1993, depuis l’observatoire économique jusqu’à la construction du centre de ressources. Jean Lalay souligne que le nombre de partenaires a sans cesse évolué : AIT, CCI, Greta, ANPE, Interm’Aide 24, Aquilim, Mission Locale, Inservolant... Le label Maison de l’emploi est présenté comme « un succès » venant couronner cette histoire.
Les projets présentés pour 2008 et ensuite incluent une plateforme formation, une pépinière des métiers, un chantier d’insertion professionnelle (en s’inspirant de l’entreprise adaptée Périgord Ressources).
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30 mars 2008
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Dans un article du 17 janvier 2008, j’évoquais la maison de l'emploi de la communauté d’agglomération de Bayonne, Anglet et Biarritz : Bayonne (64) : une « version allégée » de la maison de l'emploi. Mon article se fondait sur un article du quotidien régional Sud Ouest. Cependant, cet article a fait l’objet d’un rectificatif, dont je n’ai pas disposé.
Christian Millet-Barbé, président du groupement d’intérêt public de la maison de l'emploi de Bayonne m’informe que le projet de Bayonne se limitait à 370 000 euros d’investissements. La décision de l’État de ne financer les investissements qu'à 50% plafonnés à 350 000 € n’a donc pas eu de véritable impact.
La maison de l'emploi a ouvert au public le 3 mars 2008, après avoir formé ses personnels durant tout le mois de février.
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2 mars 2008
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Elle regroupe la Mission locale, des ateliers multimédia, une borne Assedic, l’Espace économie emploi et le Plan local pour l’insertion et l’emploi (Plie).
La Maison de l’emploi de Périgueux est la quatrième en Dordogne après celle (bipolaire) de Sarlat et Terrasson, celle de Nontron, et celle de Bergerac Lalinde. Elle a récemment mis en place un site Internet. Une des originalités de la maison de l’emploi de l’agglomération périgourdine est qu’elle a mis en place un « Club Partenaires MDE ».
Il s’adressa aux chefs d'entreprises qui souhaitent s'impliquer dans la vie économique locale, participer à des rencontres et manifestations et étendre ainsi leur réseau: Le logo des entreprises adhérente est publiée dans le journal « Dynamic ». Ils peuvent aussi bénéficier de stands lors des forums et manifestations organisées par la maison de l’emploi.
Présidée par Xavier Darcos, ministre de l’enseignement (Ump), la maison de l’emploi a pour directeur Dorian Kanil.
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3 février 2008
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Alain Rousset, président Ps du conseil régional d’Aquitaine et de l’association des régions de France, est également président de la communauté urbaine de Bordeaux et candidat pour les prochaines élections municipales dans la préfecture de région.
Le 20 décembre 2007, il répondait à des internautes sur le site du quotidien gratuit Métro au cours d’un échange sur ses intentions et projets. On peut retrouver les questions et réponses en ligne. Un des internautes, William, lui a posé la question suivante « la maison de l'emploi de Bordeaux doit coûter très cher à la collectivité alors qu'il n'y a pas de guichet unique pour le public (un comble). Que comptez-vous faire ? »
Alain Rousset a fourni la réponse suivante : « L'idée de départ de la Maison de l'emploi, lieu de mise en cohérence des actions de l'emploi était bonne. Le résultat actuel est très décevant : ce n'est ni un guichet supplémentaire ni un lieu de décisions pour tous les acteurs de la politique de l'emploi (formations...). J'ignore aujourd'hui quel est le coût de cet outil mais le vrai projet à porter est celui de désigner un vrai "patron" responsable de la politique de l'emploi. »
Alain Rousset, président du conseil régional d’Aquitaine
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17 janvier 2008
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La maison de l'emploi de l'agglomération Bayonnaise (Pyrénées atlantiques) ouvre en janvier 2008. Mais celle qui fut une des premières labellisée au titre du plan de cohésion sociale en 2005 se trouve, selon le journal Sud Ouest (12/11/2007) « dans une version allégée par rapport au projet originel. »
L’installation prévue place des Gascons aurait coûté 2 millions d’euros. Elle a été abandonnée au profit d'un projet plus modeste avenue de Plantoun (263 000 euros), c’est à dire une somme qui rentre dans le plafond fixé de facto par l'État (350 000 €).
Le bâtiment ne dépassera pas 170 m², loin des 2000 m² rêvés par l’ancien ministre du travail Jean-Louis Borloo.
Sept salariés ont été recruté en décembre 2007 : un directeur, deux personnes pour accueillir et orienter le public, quatre personnes chargées du développement économique et du suivi des entreprises.
Le fonctionnement de la maison de l'emploi sera assuré à 80 % par l'État et coûtera 470 000 euros.
La maison de l'emploi de l'agglomération bayonnaise présentera, toujours selon Sud Ouest, quelques originalités. Elle accueille une plateforme de vocation de l’Anpe. Et surtout elle couvre un vaste territoire, à l’échelle du Pays Basque. Un « bus de l'emploi » tiendra, en 2010, des permanences dans 20 chefs-lieux de cantons
Enfin, c’est l'observatoire économique de la Chambre de commerce et d'industrie qui sera chargé, pour le compte des partenaires de la maison de l'emploi, d'analyser les besoins et d'orienter les politiques.
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3 novembre 2007
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La maison de l'emploi du Périgord Noir, opérationnelle depuis janvier 2007, est bicéphale. Non seulement elle dispose de deux sites à Sarlat et Terrasson (Dordogne), mais elle compte deux co-présidents, deux co-directeurs… et un seul site Internet. Parmi les documents qui y sont accessibles, on remarquera son plan d’action pour 2007, qui figure dans sa convention pluriannuelle. Certains calculs sont confondants de précisions. Ainsi, les chambres consulaires ont mis à disposition « 1,99 ETP » sur l’axe développement de l’emploi. Tandis que le personnel de la mission locale affecté à l’axe retour à l’emploi correspond, lui à « 1,98 ETP » et que l’Anpe fournit « 1,74 ETP ». Si l’on suppose que ce sont deux agents consulaires qui sont mobilisés, le 0,01 ETP qui n’est pas affecté à la maison de l'emploi correspond, pour chacun d’eux, à 1 minute et 30 secondes chaque jour… C’est le charme des calculs sur tableur.
On remarque aussi que, dans ses membres fondateurs, la MDEPN a oublié l’État ; mais c’est peut-être tout simplement le webmestre qui n’a pas trouvé un logo à son goût.
Au-delà de ces détails, le site offre un très utile point de vue sur l’activité d’une des maisons de l'emploi historique.
Le site Internet de la maison de l'emploi du Périgord noir : www.mdepn.com 
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26 octobre 2007
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La rédaction du quotidien bordelais Sud Ouest publie un blog consacré au monde du travail : Le blog de l’emploi et de la formation. Jessica Agache y a publié une interview de Gilles de Wavrechin, 41 ans, directeur de la maison de l'emploi de Bordeaux depuis décembre 2006 (26 /05/2007). Il affiche des priorités claires, tout en laissant poindre manifestement quelque regret devant les délais pour que sa maison de l'emploi prenne toute sa dimension. À la question de savoir quel rêve il aimerait voir se réaliser, Gilles de Wavrechin répond : « La création d’entreprise dans les quartiers sensibles. Mon rêve serait de faire sortir des Aubiers ou de la Bastide une marque comme Airness, qui a été créée par des jeunes de banlieues et qui a un succès incroyable ! »
Pour la maison de l'emploi, les chômeurs ne sont pas la priorité, car « à Bordeaux, un demandeur d’emploi bénéficie déjà d’un ensemble de dispositifs ». Mais les services aux employeurs sont par contre privilégiés : « nous avons décidé de nous concentrer sur les entreprises (…) Nous envisageons par exemple de monter un groupement d’employeur pour les commerçants. »
L’installation physique de la maison de l'emploi ne se fera que vers 2009. « Quand nos locaux seront installés au Grand Parc, nous irons vers quelque chose de plus tourné vers le public (…) mais pas uniquement sous l’angle du demandeur d’emploi. La question doit aussi se poser pour le salarié. »
Enfin, appelant son ancienne fonction de directeur d’une école de commerce, Gilles de Wavrechin estime que « l’enjeu à Bordeaux est de modifier les mentalités. » Pour lui, « les jeunes diplômés à Bordeaux ne sont pas suffisamment mobiles ; [ils] doivent être plus entreprenants (…) malheureusement, les jeunes rêvent d’intégrer des grandes entreprises. Pas d’en créer. »
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8 mai 2007
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La maison de l’emploi et de la formation des bassins d’emploi Lacq-Orthez et Oloron-Mauléon (Pyrénées atlantiques, Aquitaine) a été labellisée en avril 2006. Elle vient de se donner pour directeur Yves Delmas, un ingénieur de 50 ans, originaire du Béarn, passé par l’Aérospatiale et le constructeur informatique Hewlett-Packard.
Le site Internet de la mairie d’Oloron Sainte Marie le présente dans un article.
« Après 25 ans passés au service de l ’entreprise, dans la gestion d’équipes et de clients, il a souhaité s’investir dans les domaines de la formation et de l’insertion professionnelle.
« Un poste de formateur durant deux ans au sein de différents organismes professionnels puis celui de directeur d’un atelier protégé pour travailleurs handicapés sont venus compléter ses expériences et compétences.
« Son engagement depuis 2004 au sein d’une association paloise de cadres en recherche active d’emploi : « Cap Sud-Ouest » en tant qu’adhérent, secrétaire et maintenant président marque son attachement aux problématiques liées à l’emploi et à la création d’activités. Les résultats obtenus au sein de cette association, en partenariat avec de nombreux acteurs du secteur économique, de la formation et de l’insertion professionnelle, lui ont permis de valider une certaine expérience dans le domaine. »
Il a pris ses fonctions le 1er mars 2007.
Le projet de maison de l'emploi et de la formation a été porté, au départ, par deux collectivités locales : la communauté de communes du canton d’Orthez et la communauté de communes du Piémont Oloronais. Il s’est élargi ensuite au territoire constitué par les deux bassins d’emploi Lacq-Orthez et Oloron-Mauléon. La MEF aura son antenne opérationnelle et son siège administratif à Orthez ainsi qu’une autre antenne à Oloron Sainte-Marie. La MEF est constituée sous forme de Groupement d’intérêt public (GIP) ; elle est présidée par Pierre Bœuf, maire adjoint d’Oloron Sainte-Marie.
Voici le calendrier prévisionnel de la MEF selon la mairie d’Oloron :
| Actions | Date |
| Travaux de rénovation des locaux à Orthez | Fin 2007, début 2008. |
| Mise en place des locaux de l’antenne d’Oloron | Avant été 2007 |
| Recrutement de deux « Chargés d’Accueil », Orthez et Oloron | Fin 2007, début 2008. Liés à la réception des travaux |
| Recrutement « Conseiller Emploi », Orthez | Fin 2007, début 2008. Liés à la réception des travaux |
| Recrutement « Documentaliste », Orthez | Courant 1er semestre 2008. |
| Recrutement « Secrétaire mi-temps », Orthez | Courant 1er semestre 2008. |
Yves Delmas, directeur de la MEF d'Orthez Oloron
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