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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 00:08

Pôle emploi, le nouvel organisme chargé des demandeurs d'emploi regroupant l'Anpe et les Assedic depuis janvier 2009, prévoit d’avoir 956 agences en octobre 2009 (Afp, 16/01/2009). Par rapport aux 1 542 sites actuels des deux réseaux, c’est donc 586 agences locales pour l’emploi ou antennes Assédic qui fermeront d'ici fin septembre (-38%).

Selon Noël Daucé, secrétaire général du SNU-FSU, le principal syndicat de l’ex-Anpe, « c'est un écart gigantesque alors qu'il va y avoir une montée du chômage (…) Cela va dans le sens d'une désertification des services publics, des chômeurs auront plus de déplacements à faire. »

La liste des suppressions devrait comprendre la plupart des antennes Anpe, c’est-à-dire les petites unités rattachées à une agence locale.

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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 00:07

L’Unedic s’est félicitée dans un communiqué d’avoir dépensé en 2007 203 millions d’euros soit 81,3% de son budget pour la formation des demandeurs d’emploi, une consommation en nette hausse sur 2006, où 176 millions d’euros avaient été utilisés (61,2% de l’enveloppe).

On remarquera cependant que, sur les deux années, c’est 117 millions d’euros qui auraient dû être affectés à la formation de demandeur d’emploi

En 2007, 82 000 personnes ont bénéficié d'une aide pour le financement de leur formation contre 74 000 en 2006 (+10,9%).

Si les formations homologuées sont à nouveau en baisse, par contre les formations conventionnées progressent et surtout, le nombre de d’aides à la formation préalable à l'embauche (Afpe). L’Afpe est une subvention accordée à un employeur qui embauche un chômeur qui ne dispose pas de toutes les compétences nécessaires à sa nouvelle fonction et doit donc compléter ses savoirs.

L’Unedic estime que les conventions conventionnées affichent un taux de retour à l’emploi de près de 70%, chiffre qui monterait à 80% pour l’AFPE.

 

Nombre de bénéficiaires

2006

2007

Évolution

Formations homologuées

13 048

10 391

-20,4%

Formations conventionnées

38 751

41 649

7,5%

AFPE

22 270

30 132

35,3%

Ensemble des formations

74 069

82 172

10,9%

 

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 00:05

L'Anpe (Agence nationale pour l’emploi) a décidé, fin 2007, de mettre fin aux conventionnements qui la liaient à ses prestataires et qui couraient, normalement, jusque fin 2008. En emplacement du système d'agrément en vigueur jusqu’ici, elle a lancé des appels d’offres régionaux pour huit prestations (bilans de compétence approfondis ou les dispositifs Cible emploi, qui remplacent les anciens Objectifs emploi / Objectifs projets).

Les prestations sont arrêtées depuis avril 2008, et auraient dû reprendre en juin. Mais, dans bien des sites, aucune prestation ne peut plus être proposée aux demandeurs d’emploi, soit que les marches soient annulés, soit que l’Anpe attende la décision des tribunaux avant de s’engager.

En effet, par arrêt du 15 mai 2008, le tribunal administratif de Marseille, statuant en référé, a annulé le marché conclu par la direction régionale de l’Anpe en Provence Alpes Côte d’Azur, suite à l’appel d’offres pour ses prestations.

Le tribunal administratif de Lille a également suspendu le marché passé par la direction régionale de l’Anpe en Nord Pas-de-Calais le 5 juin 2008, avant une décision d’ici deux mois. D’autres procédures sont en cours, notamment en Île de France où la mise en œuvre du marché ne se fait pas en l’attente des résultats.

Selon Pascal Nacfer, du Syndicat des professionnels du conseil et de l'accompagnement social (SPCAS), « Sur les 5.000 prestataires qui travaillaient jusqu'ici avec l'ANPE, les deux tiers n'auront plus de convention ». Le bulletin en ligne Localtis (6/06/2008) chiffre le nombre d’emplois menacés à 15 000 chez les prestataires ; le quotidien communiste L’Humanité parlait, lui de 10 000 dans un article intitulé Hécatombe silencieuse chez les prestataires de l’ANPE (7/05/2008).

Le quotidien régional La Voix du Nord donne une illustration concrète des conséquences dans un article intitulé Quand l'ANPE provoque indirectement des licenciements... (24/05/2008).

Pour le journaliste Laurent Boucher, « l'Agence nationale pour l'emploi met la pression sur les prestataires extérieurs chargés de réaliser les bilans de compétences des demandeurs d'emploi. En interrompant brutalement le conventionnement de petits organismes de formation pour réattribuer les marchés à moindre frais, elle va mettre des formateurs au chômage. »

Trois exemples sont présentés par La Voix du Nord.

La société coopérative (SCOP) Imagine, créée en 1988 à Fruges, employait seize salariés en CDI. Elle perd un marché de 600 000 € qui représentait 85 % du chiffre d’affaires. Une procédure pour onze licenciements économiques a été lancée.

La SARL Partenaire Développement, installée depuis 1993 à Berck, voit 180 000 € s’envoler, soit un tiers de son chiffre d’affaires. Deux des huit salariés seront rapidement licenciés, plus peut-être un troisième si la société ne peut se désengager d’un marché annexe (ateliers à thèmes, dans une antenne à Hesdin) qui lui coûtera plus (20 000 €) qu’il ne lui rapportera (10 000 €).

L’association Aifor créée à Étaples en 1991 gère un centre de formation comptant dix salariés à temps plein et une trentaine de vacataires. Le marché perdu de 84  000 € représentait 10 à 12 % du chiffre d’affaires total. Aucun licenciement sec n’est prévu mais plusieurs contrats temporaires ne pourront être renouvelés.

Pour Martine Grajek, directrice du centre de formation Aifor, « L'appel d'offres a complètement méprisé la situation locale ». Elle évoque la question des prix : « L'Anpe nous payait d'abord 680 € un bilan de compétences. On a baissé à 490 €. Nous ne pouvions pas faire moins. (…) Tous les petits organismes de formation vont mourir ».

Dans la plupart des régions, les chiffres évoqués par les candidats retenus sur les prestations Cible emploi sont à peine supérieurs à 300 €, environ la moitié des tarifs antérieurs pour les Objectifs projets. Par ailleurs, Un prestataire francilien m’expliquait que, à ce prix, il renoncerait à faire des prestations individuelles. Pour lui, cependant, le public auquel il s’adressait, des personnes comprenant mal le français, imposerait l’individualisation des contacts.

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8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 00:04

Le Groupement des innovateurs pour l’emploi (Groupie), fondé en 2007, a réuni 300 participants dans un hôte de Disneyland Paris pour sa première manifestation publique, le 3 avril 2008 sur le thème de la « mobilisation territoriale des entreprises pour l'emploi. »

La labellisation avait le label du Grenelle de l’insertion. On trouvera quelques échos sur le site de Michel Abhervé, professeur associé à l’université de Marne-la-Vallée, qui suit le Grenelle de l’insertion pour le syndicat des employeurs de l’économie sociale, Usgeres, sur un blog.

Voici aussi quelques unes des phrases clés que j’ai relevées lors de cette journée.

Thierry du Bouëtiez, directeur général adjoint des services du conseil général de Seine et Marne et président de Groupie a expliqué qu’il voulait « faire avancer le schimlblick », c’est à dire que les politiques d’insertion permettent effectivement d’insérer dans l’emploi.

François Perrussot, conseiller général et président Initiatives 77 a affirmé qu’il souhaitait aussi rapprocher l'entreprise du monde de l'insertion et Daniel Dreux, vice-président de Disneyland Paris a montré un exemple, un chantier d'insertion monté par son entreprise avec Initiatives 77.

Mathieu Angotti, chercheur au Credoc, a rendu compte de l’enquête auprès des entreprises menée sur l’insertion. Il souligne le paradoxe des bienfaiteurs (on en retire quelque chose) et les motivations de l'entreprise : recruter, rencontrer pour faire des affaires, donner une bonne image, innover en regardant ce qui se passe. L’objectif de telles actions dans une entreprises peuvent être de deux ordres : caritatif (aller vers, sous-traiter, financer) ou intégratif (accueillir, recruter). Le site de Groupie diffusera ultérieurement cette étude.

La table-ronde finale s’interrogeait : « vers un label qualité entreprise insérante ? »

Julien Damon, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris et animateur des échanges du Grenelle de l’insertion a postulé qu’il fallait « sortir du bidouillage », qu’il y avait besoin d'un ensemblier, citant les Plie ou (de préférence) les maisons de l’emploi. Il a proposé d’abandonner les dispositifs pour les parcours.

Vincent Eblé, président du conseil général de Seine et Marne a témoigné que son département a expérimenté des clauses d'insertion non contraignantes, mais que çà n'a pas bien marché, c’est pourquoi le conseil général s’oriente, après dialogue avec les professionnels, vers des règles plus contraignantes dans ses marchés.

Le représentant du Medef d’Île de France, Jérôme Dubus, a plaidé pour un label développement durable, incluant la notion d’insertion. Il a rappelé – à l’intention des pouvoir publics – que « les entreprises n'ont jamais demandé des contrats aidés », et que les partenaires sociaux ne sont pas consultés lors du lancement de ceux-ci.

Le représentant de la Cgpme, M. Jamet, s’est inquiété de ce qu’un label pour les grandes entreprises risquerait decrédibiliser encore plus les Pme.

Pour Philippe Lengrand, Cfdt il s’agit d’arriver à des droits accessibles à tous. Pour cela, il faudra placer l'action syndicale sur le champ de la prévention dans l'entreprise.

Le Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, Martin Hirsch, s’est inquiété qu’il n’y ait que 10 000 contrats de professionnalisations utilisés par des adultes. Il a souhaité une réorientation des aides à l'emploi, estimant les aides au secteur marchand déclenchaient pour 80% d’entre elles un effet d'aubaine pour des embauches qui auraient eu lieu de toute façon, tandis que dans le secteur non marchand on avait 80% de non retour à l'emploi.

Thierry du Bouëtiez a conclu en proposant de revoir complètement l'accompagnement tout en appelant à « une mobilisation citoyenne. »

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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 00:07
Les élections qui se sont tenues en janvier 2008 à l’Agence nationale pour l’emploi, les dernières avant la mise en place de la nouvelle structure, ont évidemment une certaine importance car le poids des organisations jouera dans la négociation de la future convention collective de la nouvelle institution rassemblant Anpe et Assedic. Les résultats ont été diffusés officiellement le 4 février 2008.
Globalement, les syndicats les plus opposés à la fusion (SNU FSU, Cgt et Sud) reculent, mais restent malgré tout en tête.
Le SNU-ANPE, adhérent à la FSU (et formé à partir d’une scission de la Cfdt) confirme comme lors des élections de 2002 et de 2005 sa place de 1ère organisation syndicale nationale de l’Anpe. Cependant, en recueillant 27,2%, il affiche un important recul (3,2 %).
La CGT, qui talonnait Force ouvrière en 2002 (3 voix seulement les séparaient au niveau national) recule de 2,3 % et obtient 14,5 %. Sud, qui n’a pas de représentativité nationale, est en baisse dans les régions où il présentait des listes lors des deux scrutins.
La Cfdt baisse de 0,3 % en obtenant 8,6 % au plan national.
Par contre, Force ouvrière progresse de 1,1 % avec 17,9 % des voix exprimées. Les principaux vainqueurs sont cependant le syndicat chrétien Cftc, qui établit son score à 12,2 % (+2 %) et l’UNSA (autonomes) qui augmente le sien de 2,31 % et atteint dorénavant 5,6 % des suffrages.
La CGC avec un gain de 0,6 % talonne désormais la Cgt, obtenant 14%
Plusieurs sites d’organisations syndicales donnent les résultats des élections et les commentent. C’est le cas notamment du SNU FSU, de l’UNSA et de la CGC.
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 00:05
Selon le bilan annuel 2007 établi par l'Unedic 82 172 personnes sur les 2 millions de actuellement au chômage (5 %), ont eu accès à un programme financé par l'Unedic, 10 000 ont suivi une formation homologuée, un peu plus de 40 000 ont disposé d'une formation conventionnée (destinée à répondre à des besoins immédiats de main-d'oeuvre non satisfaits), et 30 000 chômeurs ont bénéficié d'actions de formation préalable à l'embauche.
Ces chiffres sont bien inférieurs aux prévisions, et moins de la moitié du budget alloué à la formation a été dépensée, soit 203 millions d'euros. L’ancienne présidente de l’Unedic, la dirigeante syndicale Cfdt Annie Thomas, attribue ce résultat au « manque d'initiatives des branches et des organismes de formation » chargés de monter les programmes de formation conventionnés selon le quotidien Ouest-France (19/01/2008).
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23 décembre 2007 7 23 /12 /décembre /2007 00:09
Lancé en Seine et Marne, le Groupe des innovateurs pour l’emploi (Groupie) est une initiative de Thierry du Bouëtiez, directeur général adjoint au conseil général de Seine-et-Marne (Île de France), en charge des politiques de solidarités. Alors sous-préfet de Haute Savoie, Thierry du Bouëtiez, avait contribué à la naissance de la maison de l'emploi de Bonneville en 1997.
Ce réseau rassemble des personnes issues des milieux économiques, administratifs et associatifs, qui s'engagent individuellement « pour faire bouger les choses dans le domaine de l'emploi et de l'insertion, en s'affranchissant des carcans et des cloisonnements institutionnels et culturels. »
Groupie cherche à développer les bonnes pratiques, l'expérimentation et l'innovation, et plus spécialement les actions susceptibles de rapprocher deux mondes, celui de l'insertion et celui de l'entreprise.
Dans le réseau local de Seine-et-Marne, où le réseau compte une centaine de personnes, des réunions régulières permettent à des « innovateurs de l'emploi et de l'insertion » de s’exprimer et d’échanger des bonnes pratiques, dans un cadre convivial.
Un réseau national a été créé en février 2007, et il comptait 177 adhérents dans une douzaine de régions en novembre. Parmi les membres, on comptait une trentaine de responsables d’organismes d’insertion, une vingtaine de dirigeants d’entreprises, une trentaine de cadres de collectivités territoriales, et une douzaine de dirigeants de maisons de l'emploi, de PLIE ou de missions locales.
En mars 2008, Groupie prévoit d’organiser une journée d'échange sur des expériences de rapprochement et de travail en commun insertion / entreprises. Selon son fondateur, ce serait « une contribution Groupie au Grenelle de l'insertion en quelque sorte ! »
Groupie recherche une entreprise « citoyenne » qui pourrait accueillir (gratuitement) cette journée, où 200 à 300 participants sont attendus.
On consultera sur le site de Groupie l’étude de l’Institut du mécénat social (IMS), parue en 2006, sur la Coopération entre grandes entreprises et structures d'insertion par l'activité économique
Le réseau a également lancé un label "qualité intégration dans l'entreprise" .
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26 novembre 2007 1 26 /11 /novembre /2007 00:03
Patronnée par de grandes entreprises (AG2R, Air France KLM, Fnac, Sanofi-Aventis, Sncf, Saint Gobain), des syndicats de salariés (Cgt, Cfdt, Unsa), des organisations patronales (Uimm) et des cabinets de conseil en ressources humaines, Astrées se propose de « reconstruire les fondements du social. »
Astrées a pour objectif de faire vivre une plate-forme indépendante centrée sur les mutations du travail et de l'emploi et leur impact sociétal. Il s’agira de comparer, capitaliser, expérimenter et anticiper.
Les activités seront prioritairement centrées sur 3 thèmes : les marchés locaux du travail et les parcours professionnels ; les entreprises, les ressources humaines, la protection sociale et santé des salariés ; enfin, les nouvelles relations, normes et représentations du travail.
Comme ses prédécesseurs, Astrées sera financée par des contributions d’entreprises, d’acteurs sociaux ainsi que par des subventions publiques européennes, nationales ou territoriales.
L’association conduira trois activités principales : des études et publications et notamment l’édition de METIS correspondances européennes du travail ; des chantiers, en particulier la poursuite et le développement du dispositif ALIZE (entreprises et développement local) ; des formations et échanges, en particulier un deuxième cycle des Universités du travail et de l’Emploi.
L’équipe de Développement et emploi (dirigée par Jean-Marie Bergère) et celle de l’Université européenne du travail (Claude Emmanuel Triomphe) seront regroupées dans Astrées.
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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 00:09
Le site Internet de l’Agence nationale pour l’emploi (Anpe), www.anpe.fr, vient d’être renouvelé. Le communiqué de presse, daté du 18 octobre 2007, de ce qui se présente comme le « 1er site emploi français et européen » annonce, notamment, « un accès simplifié au moteur de recherche ». Ledit moteur de recherche fonctionne région par région, du moins en métropole, puisqu’outre-mer, seule La Réunion y a droit.
J’ai donc voulu tester (le 9/11/2007) le nouveau moteur de recherche, dont, c’est vrai, l’accès est vraiment simple. Les résultats sont assez simples aussi.
J’ai choisi de taper « maison de l'emploi » dans les 23 régions équipées, et la réponse a été systématiquement la même : « Aucun document n'a été trouvé pour 'maison de l'emploi'. »
Bon, c’est vrai que chercher une maison de l'emploi sur le site de l’Anpe, ce n’est pas très malin.
Donc, j’ai continué sur le site de la région Île de France en me disant : « je vais chercher  un emploi », çà, çà les connaît ; voici la réponse : « Aucun document n'a été trouvé pour 'emploi'. »
Ce n’est pas grave, je me contenterai d’un travail : « Aucun document n'a été trouvé pour 'travail' ». Ah bon, et un tout petit job ? « Aucun document n'a été trouvé pour 'job' ». Tant pis, un stage, peut-être ? « Aucun document n'a été trouvé pour 'stage' ».
Vous l’avez compris, le moteur de recherche de l’Anpe est simplissime.
Précisons tout de même que, les mots que j’ai mentionnés ci-dessus donnent des résultats dans les régions autres que l’Île de France…
anpe-ordi.jpg
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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 00:00

Trois Cités des métiers nouvelles ont été labellisées par le comité réuni les 12 et 13 juillet 2007 à la Cité des sciences et de l'industrie de Paris. Il s'agit de la Cité des métiers et de la formation de Genève dont l'ouverture est prévue en mars 2008, de la Cité des métiers de Rome-Tuscolano et Castelli qui ouvrira en janvier 2008 et de la Cité des métiers du Pays ajaccien, dont l'ouverture "en préfiguration" est prévue pour fin 2007. Le réseau comprend aujourd'hui 25 Cités des métiers labellisées dont 17 cités, 7 projets et un réseau des métiers des Pays gardois qui est une expérimentation de déclinaison du label en milieu rural. Les Cités des métiers sont des espaces intégrés de ressources et de conseils gratuits au service de tous les publics en recherche d'orientation et d'information sur les métiers et la vie professionnelle dont la création d'activité.

Plusieurs d’entre elles sont également labellisées maisons de l'emploi (Belfort, Montbéliard, Nanterre ou le projet en cours de réalisation à La Rochelle) ou directement liées à des maisons de l'emploi (Paris).

Le projet corse est lié à la maison de l'emploi du pays ajaccien et la maison de l'emploi de Bonnevillle (Haute-Savoie) est déjà partenaire de la maison transfrontalière de l'emploi du Gènevois.

http://www.reseaucitesdesmetiers.com/reseau-cites-des-metier...

 

 

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Le Cahier des charges 2009 des maisons de l’emploi (décembre 2009)

Les Modalités de financement des maisons de l’emploi (décret de décembre 2009)

Rapport du groupe de travail sur l’élaboration d’un nouveau cahier des charges pour le conventionnement des maisons de l’emploi  (Michel Thierry, IGAS, septembre 2009)


L’étude de la DARES : Les maisons de l'emploi conventionnées avant fin juillet 2007 (mars 2009)
Le rapport final de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (juin 2008)

Le rapport intermédiaire de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (janvier 2008) avec sa première annexe et sa deuxième annexe.
Le
rapport de Marie-Christine Dalloz, députée du Jura, sur les maisons de l'emploi (juin 2008)
La loi du 13 février 2008 sur la
réforme du service public de l'emploi

La carte des maisons de l'emploi en métropole en décembre 2008 (source : DGEFP, Dares)

L'annuaire des maisons de l'emploi (réalisé par le ministère de l'emploi, mars 2007) 

La liste des maisons de l’emploi labellisées et conventionnées (juin 2008, source DGEFP)

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