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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 00:03

Pour la Maison de l'emploi et de la formation du Cotentin à Cherbourg (Manche), la création d'activités sur un territoire n'est pas que l'affaire des professionnels et techniciens de la création. C’est pourquoi elle s’efforce de mobiliser un large réseau d’acteurs.

Elle a ainsi impulsé depuis 2002 la création d’un réseau de capteurs d’initiatives. Il est composé de 15 personnes réparties sur l’ensemble du nord de la péninsule normande : agents de développement, directeurs de centres sociaux, animateurs sociaux, référents RMI, conseillers emploi, créateurs d'association culturelle ou d'insertion.

Les capteurs d’initiatives ont pour rôle de détecter des idées, des envies de création et d’orienter les personnes vers les structures d’accompagnement en mesure d’apporter une première réponse adaptée. Trois type de situations peuvent être signalés par les capteurs : des personnes ayant envie d’entreprendre sans idée précise, des porteurs de projets et des opportunités de création ou de reprise d’activité sur un territoire.

Les capteurs d’initiatives reçoivent une initiation-formation sur 2 jours qui est assurée par l’Agence pour la création d’entreprises (Apce) à Cherbourg. Ensuite, pendant une demi-journée leur est présenté le service Balise de la MEF et toute la filière d’accompagnement des projets…

Des réunions tous les deux mois sont l’occasion de les tenir capteurs d’initiatives informés de l’actualité de la création, et pour la MEF de recevoir les informations concernant les services dans lesquels évoluent les capteurs. Un point est donné sur l’évolution de chaque projet capté. De même pour les opportunités d’activités.

Ainsi, fin 2008, une jeune femme s’est approprié un projet proposé par un capteur. Elle devrait démarrer son activité au début 2009.

En 2007, 23 projets de créations d’entreprises identifiés ont été identifiés dans le cadre du réseau.

Le réseau est animé par Anne-Marie Etienne, responsable du service Balise création et reprise d’entreprises à la MEF du Cotentin.

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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 00:05

La communauté de communes Caux Val de Seine, basée à Lillebonne (Seine Maritime) a engagé en mai 2008 la construction d’une nouvelle structure qui a pour objectif « d’offrir un meilleur service à la population dans les domaines de l’accès à l’emploi et de la formation et apporter des réponses aux difficultés de recrutement actuelles et à venir des entreprises sur le territoire ». Elle accueillera sous un « guichet unique » plusieurs services territoriaux ayant cette vocation.

Çà ne vous rappelle rien ? Eh bien, il ne s’agira pas d’une maison de l’emploi. La collectivité l’avait envisagé, mais le programme étant gelé, il faut pour poursuivre dans la même voie adopter d’autres concepts, trouver d’autres méthode, réinventer parfois ce qui est pourtant déjà prévu.

La communauté de communes, qui est riche d’une taxe professionnelle conséquente avec Port Jérôme et sa raffinerie. Elle peut donc peut-être seule un projet sur le plan financier. Mais est-ce logique qu’un projet de cette nature ne soit pas relié à une politique publique plus organisée ?

Située sur le parc d’activités du Manoir à Lillebonne le bâtiment, construit dans une zone humide, aura un toit végétalisé. L’ouverture est prévue pour septembre 2009. Deux structures devraient s’y retrouver, la Mission locale de Lillebonne et le CLIPS (Comité lillebonnais d’insertion sociale et professionnelle). Surtout, l’imposante construction devra développer des services nouveaux.

Mais le nom lui-même a dû être adapté : il s’agira d’une « maison des compétences ». D’autres agglomérations ont d’ailleurs des projets sous ce même titre, comme la communauté d’agglomération du Val de Bièvre (ouest du Val de Marne).

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12 octobre 2008 7 12 /10 /octobre /2008 00:02

On a vu dans un précédent article que le porteur de projet de « garage social », qui a l’appui de la Maison de l’emploi du Plateau de Caux maritime (Doudeville, Seine maritime) avait été incité à utiliser les services d’une société de portage salarial [voir : Pays de Caux : plus « poignée de mains » que « convention », Emploi et création, 8/10/2008].

Au cours d’une conférence téléphonique organisée par une filiale de la Caisse des dépôts et consignations, Mairie Conseil, le 7 octobre 2008 le directeur de la Maison de l’emploi du Plateau de Caux maritime, Dimitri Egloff, a présenté les modalités d’action de sa structure.

Basée dans au siège de la communauté de communes Plateau de Caux – Fleur de Lin, la maison de l’emploi accueille les sociétés d’intérim, de portage salarial, le Greta…

Cinq demandeurs d’emploi ont créé leur activité avec un accompagnement de la maison de l’emploi. Mais, pour sécuriser leur parcours, il leur est conseillé d’utiliser le portage salarial en tant que sas.

Bien qu’un soutien ait été fourni par des bénévoles à ces porteurs de projets, il n’y a pas de mise en œuvre des mécanismes de tutorat tels qu’ils étaient prévus par la loi de cohésion sociale. Pour Dimitri Egloff, qui souligne l’importance de l’appui que lui apporte le secteur privé, le rôle de la maison de l’emploi en la matière est encore à construire : « il faudrait être plus vif sur le sujet de la création d’entreprises. »

Pour répondre à la difficulté liée au faible équipement informatique de certains ménages, des implantations d’ordinateurs ont été faites dans les espaces publics et les bureaux de poste grâce à des sponsors. La Poste a largement financé ces installations.

La communication est un des enjeux de l’action de la maison de l’emploi : elle repose également sur un partenariat privé. Un film, financé par La Poste, présenté au congrès des maires. Quant au traditionnel pot organisé à l’issue de l’assemblée générale 2008, il a été offert par les ostréiculteurs de Veules-les-Roses.

Le site Internet de la maison de l’emploi est toujours en cours de construction : www.emploiplateaudecauxmaritime.fr

Voir aussi :

  • Pays de Caux : plus « poignée de mains » que « convention »

 

Dimitri Egloff, directeur de la Maison de l’emploi du Plateau de Caux maritime

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 00:03

la Maison de l’emploi du Plateau de Caux maritime (dont le siège est à Doudeville, Seine maritime) était l’invitée d’une conférence téléphonique organisée par une filiale de la Caisse des dépôts et consignations, Mairie Conseil, le 7 octobre 2008.

Le député (Ump) et maire de Yerville (76), Alfred Trassy-Paillogues, a souligné son choix de disposer d’une institution légère : « le public fragile n’aime pas les structures lourdes ». La maison de l’emploi compte deux salariés.

La simplicité s’applique également aux critères d’évaluation. Pour l’élu, il n’y a qu’un seul indicateur, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie 1 auprès de l’Assédic (ceux qui recherchent un emploi à temps plein, à durée indéterminée et qui n’on pas d’activité importante). Le chiffre a baissé en 6 mois de 22%, contre 15% au plan national.

Le directeur, Dimitri Egloff, a affirmé être partisan de relations directes plus que de formalisation. Pour lui, la poignée de mains vaut engagement. Il a même assuré « ne pas connaître » le contenu de la convention constitutive de la maison de l’emploi, s’en tenant à l’esprit plus qu’à la lettre.

De fait, la maison de l’emploi a l’appui de nombreux partenaires, en particulier d’entreprises, et fait appel à des bénévoles, dont un ancien directeur de l’Anpe et un ex-entrepreneur. Une partie des moyens qu’elle mobilise provient donc du secteur privé.

C’est le cas du fonds de secours, qui peut être actionné par le directeur sans formalités et accorder des aides de faible montant mais urgentes (15 à 20 euros). Pour lui, « il n’y a rien de meilleur que la petite lueur dans le regard de la personne à laquelle on a pu donner une réponse. »

La maison de l’emploi a également mis en place un microcrédit social. Il est suivi directement par la maison de l’emploi, car l’assistante, Sandrine Delalandre, est un travailleur social titulaire d’un diplôme d’État. Le microcrédit, d’un montant de 300 à 5 000 € à taux préférentiel, est géré avec la Banque postale. 30 demandes ont été formulées, 15 ont conduit au dépôt d’un dossier, 10 n’ont pu être acceptés tandis que 5 conventions de crédit ont été signées. Le problème principal, à l’origine des demandes est la mobilité : réparation ou acquisition d’un véhicule, permis.

Pour répondre plus largement à ce problème, a maison de l’emploi dispose d’un parc mobilité qui dispose de deux voitures sans permis et de scooters. Les voitures sans permis sont notamment louées à des femmes ; les ressources dégagées par la location peuvent aider, au bout des six mois de mise à disposition du véhicule, à financer un projet du bénéficiaire (permis, acquisition de véhicule).

Un « garage social » est en projet. Son créateur, qui utilisera dans un premier temps une société de portage salarial pour exercer son activité, gèrera le parc mobilité et pourra aider à la réparation de véhicules d’usagers de la maison de l’emploi.

Nous poursuivrons le compte-rendu de ce transfert d’expériences dans un prochain article.

La maison de l’emploi dispose d’un site Internet en cours de construction : www.emploiplateaudecauxmaritime.fr

Voir aussi :

Alfred Trassy-Paillogues, député-maire de Yerville (76)
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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 00:07
La Communauté urbaine de Cherbourg (Manche) s'est dotée en 2005 d'un service d'amorçage de projets pour favoriser la création d'activité parmi les habitants des quartiers de la politique de la ville. Son animation en a été confiée à la Maison de l'emploi et de la formation du Cotentin.
Les services d'amorçage de projets ont été initiés par la Caisse de dépôt et de consignation avec 4 réseaux d’appui à la création d’entreprises, l’Adie (microfinance), France initiative, France active et le Réseau des Boutiques de gestion.
Selon Marie-Odile Lecrès présidente de la MEF et maire adjointe (Ps) d’Equeurdreville-Hainneville (Manche),qui s’exprime dans le quotidienOuest-France (26/02/2008),  « L'objectif de ce service d'amorçage est de faire émerger des projets de création, et après deux ans et demi on constate des résultats concrets ».
251 habitants des quartiers de la politique de la ville ont été en relation avec le service d'amorçage de projets, dont la moitié de femmes. 50 % habitent la zone franche urbaine, 62 % n'ont pas de revenus, 32 % sont issus de l'immigration, leur niveau d'étude est faible et la moyenne d'âge est de 38 ans.
Fin 2007, 37 personnes avaient créé leur entreprise ou leur activité dans le secteur du commerce, des prestations de service, de la culture, de l'artisanat ou du tourisme. En dehors même de ces résultats directs, l'accompagnement a permis à 71 % des personnes passées par le service d'accéder à un emploi salarié, à une formation ou de créer une activité. Une vingtaine d’entreprises ont été créées en 2007.
Le service d'amorçage de projets est intégré dans le service Balise de la MEF du Cotentin, qui comprend également un chargé de mission sur la transmission et la reprise d’entreprises et s’appuie sur Balise pour faire émerger des projets.
Au niveau national, les services d'amorçage de projets sont coordonnés pas l’association Éveilléco.
Voir l’organigramme du service Balise de la MEF du Cotentin.
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7 mars 2008 5 07 /03 /mars /2008 00:01
La  Maison de l’Emploi du pays Le Havre Pointe de Caux Estuaire a terminé sa première année complète en 2007. Son président, Antoine Rufenacht, maire Ump du Havre, ee réjouissait en présentant son premier bilan d’activité, le 23 janvier 2008, que la situation de l’emploi s’améliore légèrement. Pour lui, la maison de l’emploi « joue un rôle exemplaire de coopération et de synergie. »
La maison de l’emploi a souhaité contribuer à « la définition d’une politique territorialisée de l’emploi ». Pour cela, elle a conduit auprès de 2.000 entreprises, ce qui lui a permis d’identifier qu’environ 1.800 postes étaient à pourvoir (dont 70 % en CDI) en 2007 dans les entreprises de transport et dans l’industrie. 57 % des entreprises indiquent avoir des difficultés de recrutement en citant comme motifs l’absence de candidats et les problèmes de comportement au travail des candidats.
L’étude confirme la pénurie de maçons, couvreurs, tuyauteurs, cuisiniers, serveurs, agents de sécurité, conducteurs de marchandise et employés de transit.
La maison de l’emploi dispose d’un site Internet.
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 00:06
La maison de l’emploi du Plateau de Caux Maritime en Seine Maritime (109 communes, 64 000 habitants, 1860 demandeurs d'emploi) a été créée pour soutenir l’activité sociale et économique du Pays.
La situation financière précaire de certaines personnes ou de foyers constitue un handicap durable à leur insertion sociale et professionnelle. Aussi, la Maison de l’Emploi a souhaité la mise en œuvre du dispositif de microcrédit social.
La Caisse des Dépôts, mandatée par l’Etat pour gérer le Fonds de Cohésion sociale, a accepté que la maison de l’emploi puisse porter cette expérimentation sur le Pays du Plateau de Caux Maritime. Du fait du positionnement du groupe La Poste sur son territoire, elle s’est rapprochée de La Banque Postale pour proposer une prestation de qualité
Deux conventions avec la Caisse des Dépôts et La Banque Postale, ont été signées le 16 janvier 2008.
Dimitri Egloff, directeur de la maison de l’emploi, souligne qu’il s'agit de la troisième expérimentation nationale réalisée par La Banque Postale, après le Conseil Régional de Poitou Charente et le Département de l'Indre et Loire. La maison de l'emploi du Pays de Caux maritime est la première à déployer ce dispositif.
Cette structure est légère, avec deux collaborateurs, et peu coûteuse. Pour son directeur, elle « est fière d'apporter ce service supplémentaire, venant compléter les "Points Emploi" dans les bureaux de poste et bientôt des voitures sans permis mises à disposition des demandeurs d'emploi isolés pouvant travailler dans le domaine du service à la personne. »
Un site Internet de la maison de l’emploi est en cours de préparation.
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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 00:14
Jean-Pierre Godefroy, sénateur socialiste de la Manche (Basse Normandie) et ancien maire de Cherbourg, intervenait le 9 janvier 2008 à l’Assemblée nationale sur la mission d'évaluation, conduite par le député Ump Jean-Paul Anciaux, président de la Commission nationale de labellisation des maisons de l'emploi, qui devrait rendre son rapport définitif au mois d'avril. Le débat avait lieu dans le cadre de la discussion de la loi sur la réforme du service public de l’emploi.
Selon celui qui fut le fondateur de l’une des premières maisons de l'emploi et de la formation, celle du Cotentin « les conclusions de ce rapport nous seraient elles aussi très utiles pour nous déterminer, tant vos propos sur l'avenir des maisons de l'emploi nourrissent nos inquiétudes.
« En effet, un an et demi après leur lancement, ces maisons de l'emploi ne sont apparemment plus une priorité pour le Gouvernement ; vous vous êtes d'ailleurs prononcée pour le gel de leur mise en place. Voyant fonctionner une maison de l'emploi et de la formation dans la communauté urbaine de Cherbourg depuis une dizaine d'années - nous avons innové en la matière -, je ne puis que m'étonner d'une telle attitude, l'utilité et l'efficacité de ces structures n'étant plus à démontrer. Les collectivités territoriales sont d'autant plus inquiètes qu'elles sont écartées de l'économie globale du projet de loi, alors que leur rôle en matière d'emploi, d'insertion, de formation professionnelle et de développement économique est de plus en plus important. Madame la ministre, pourquoi les collectivités locales sont-elles ignorées par le texte ? Qu'est-ce que cela signifie ? »
En février 2008, la maison de l'emploi et de la formation du Cotentin vient de mettre en ligne un nouveau site Internet. En 1997, elle avait été une des toutes premières maisons de l'emploi de l’ancienne génération à démarrer une activité autour de la création d’entreprises, en participant au lancement de Balise.
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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 00:31
La Maison de l’emploi et de l’entreprise du bassin d’Évreux (MD3E) affiche haut et fort la deuxième partie de son nom. Il faut dire que son non seulement son président, Jacques Berger, qui est à la tête du Groupement patronal d’Évreux, est un chef d’entreprise, mais son directeur, Jacques Agra, a eu la même expérience.
La maison de l'emploi a ouvert ses portes au public le 4 décembre 2006.
Jacques Agra insistait dans le journal de la municipalité, alors dirigée par Jean-Louis Debré (Ump), Du côté d’Évreux (janvier 2007) « La Maison de l’emploi est un endroit où tout le monde peut se retrouver : le demandeur d’emploi, le salarié, l’entrepreneur. (…) notre objectif est de trouver des moyens d’agir pour aider à la création et la reprise d’entreprises, pour améliorer la recherche d’emplois. »
Avec une équipe de sept personnes, la md3e dispose de deux sites. L’un, rue Dulong, pour l’accueil du public, compte une Cyberbase Emploi. L’autre, rue de l'Espéranto, sert pour l’administration et les services aux entreprises.
À côté des fondateurs obligatoires (Anpe, Assédic, État et communauté d’agglomération d’Évreux), d’autres membres constitutifs ont été retenus : le Groupement patronal d’Évreux, le syndicat Cfdt, et l’organisme fédérateurs des sociétés d’intérim, Prisme. La MD3E accueille également comme membres l’Afpa, l’Agefiph, et l’Institut régional du BTP.
La MD3E dispose d’un site Internet : www.md3e.fr .

Agra-J-Evreux.JPG 
Jacques Agra, directeur de la MD3E (Evreux)
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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 00:20
La maison de l’emploi du Pays Le Havre, Pointe de Caux, Estuaire (Haute-Normandie) a été labellisé parmi les premiers en France (le 12 juillet 2005). La structure a été formellement créée lors d’une assemblée constitutive le 14 octobre 2005. Elle a démarré son activité au printemps 2006.
La maison de l’emploi a publié, en juin 2007, une première lettre d'information
Jean-Michel Harel, conseiller municipal du Havre (Nouveau Centre) commente ce qu’il considère comme des indications intéressantes dans un article de son blog daté du 22 juillet 2007.
« On y apprend quels sont les métiers les plus recherchés et les plus difficiles à recruter sur le bassin d'emploi du Havre en 2007. Il y a les agents de gardiennage et de sécurité, les employés et agents de maîtrise de l'hôtellerie, les plombiers et chauffagistes, les techniciens et agents de maîtrise de l'électricité, de l'électronique et des télécommunications.
« Pour résumer les données fournies, la situation des cadres et des demandeurs d'emploi de longue durée s'améliore. On constate aussi que le niveau de diplôme joue un rôle protecteur. Toutefois, la part des jeunes actifs à la recherche d'un emploi reste encore importante soit 27% »
Harel-JM.jpg Jean-Michel Harel, conseiller municipal du Havre
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Ce site est conçu et animé par Benoit Willot.

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Documents à télécharger :


Le Cahier des charges 2009 des maisons de l’emploi (décembre 2009)

Les Modalités de financement des maisons de l’emploi (décret de décembre 2009)

Rapport du groupe de travail sur l’élaboration d’un nouveau cahier des charges pour le conventionnement des maisons de l’emploi  (Michel Thierry, IGAS, septembre 2009)


L’étude de la DARES : Les maisons de l'emploi conventionnées avant fin juillet 2007 (mars 2009)
Le rapport final de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (juin 2008)

Le rapport intermédiaire de Jean-Paul Anciaux, député de Saône et Loire, sur l'évaluation des maisons de l'emploi (janvier 2008) avec sa première annexe et sa deuxième annexe.
Le
rapport de Marie-Christine Dalloz, députée du Jura, sur les maisons de l'emploi (juin 2008)
La loi du 13 février 2008 sur la
réforme du service public de l'emploi

La carte des maisons de l'emploi en métropole en décembre 2008 (source : DGEFP, Dares)

L'annuaire des maisons de l'emploi (réalisé par le ministère de l'emploi, mars 2007) 

La liste des maisons de l’emploi labellisées et conventionnées (juin 2008, source DGEFP)

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