Le numéro
Au départ du projet se trouvent Barbara et Mathieu Barois, qui nourrissaient le projet d'une entreprise à vocation culturelle. En 1993 ils tombent par hasard sur une friche abandonnée, l'Usine Mathieu à Roussillon. Cette usine, en pierre jaunies de
« L'ocre est un matériau fascinant, il est utilisé de multiples façon comme colorant naturel. Il fait partie de notre patrimoine culturel, notre idée est de le valoriser et développer avec activité économique pérenne et autonome. »
En
Actuellement la structure a atteint une certaine stabilité, même si le résultat d'eploitation reste faible : onze salariés, un chiffre d'affaire de 900 000 €, et 500 adhérents. Elle est passée d'association à société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) début 2005.
En 10 ans, Ôkhra est devenu un véritable centre ressource sur
« Territoire et patrimoine » met en valeur le patrimoine industriel. « Ressources et matériaux de la couleur » offre une large palette de pigments minéraux, des matériaux pour réaliser peintures et enduits et des livres sur le sujet. « Pratique et pensée de la couleur », la partie conceptuelle de l'ensemble, organise 220 jours de formation par an. « Gestion et développement d'entreprise culturelle », se consacre à l'administration d'entreprise.
Mathieu Barrois est par ailleurs président du Comité de bassin d'emploi du pays d'Apt.
L'APEAS porte le dispositif Balise à Marseille.
Le site d'Ökhra